« Est-ce-qu’on va un jour en finir avec la haine et les injures? Est-ce que quelqu'un viendra leur dire qu'on s'aime et que c’est pas impur? » La moitié du concert est maintenant passée et le public est totalement en symbiose avec Hoshi qui, depuis 45 minutes, chante et partage sa joie et sa bonne humeur. Si d’autres titres peuvent exprimer un ton plus léger, ce titre-là est l’un des plus engagés que la chanteuse a écrit : « Amour Censure ». Il y est question d’homosexualité. De la sienne, de celles des autres. De la violence subie et ressentie face à son orientation sexuelle. De ce combat pour se faire accepter et pour s’accepter. Cette chanson est devenue un hymne à la tolérance et à l’amour. Une vingtaine de spectateurs brandissent fièrement des drapeaux arc-en-ciel dans la salle, suivie par la jeune femme qui en récupère un au vol. La salle entière l’accompagne et chante le refrain en boucle. « Je veux qu’on envoie de l’amour à tous ces haineux» lance-t-elle à la foule. Un moment rempli d’émotions pour elle et pour son public.
Ce n’est pas étonnant. Depuis 2017, et son premier single « Comment je vais faire », Mathilde Gerner, de son vrai nom, réussit par ses textes engagés, profonds, personnels à toucher les gens à n’importe quel âge. Ce soir-là, mardi 9 novembre, dans la salle du Château Rouge qui peut accueillir environ 1500 personnes, des familles, des adolescentes, des personnes plus âgées l’applaudissent et scandent son nom. Avec son look atypique, sa voix puissante et son énergie débordante, elle embarque tout le monde dans son monde et même ses recoins les plus intimes.
De l’émotion garantie
Accompagnée d’une guitariste, d’un bassiste et d’un batteur, la jeune femme chante durant sa prestation des titres plus personnels laissant apparaitre une facette d’elle plus sensible, plus brute. Comme avec les sons, « Il était toi », « Jte pardonne », « Et même après je t’aimerai » qui parle d’amour et de sentiment… Elle verse quelques larmes pendant le morceau « Fais-moi signe ». Hoshi y parle ouvertement de sa maladie. En effet, elle souffre de la maladie de Ménières qui touche son ouïe. À travers ses textes, elle se livre à cœur ouvert devant son public complètement réceptif.
En communion avec le public
Dès son arrivée sur scène, Hoshi démontre une envie presque viscérale de vivre un vrai moment de partage avec son public. Dès le troisième titre, “Enfant du danger”, elle encourage l’assistance à chanter en boucle le refrain avec elle. Grâce à une scénographie projetée sur le mur derrière la chanteuse pour chaque titre, les spectateurs peuvent s’imprégner du sens du morceau visuellement. Un effort supplémentaire appréciable et qui, surtout, marque les esprits.
En parlant d’effort, la chanteuse se donne sans relâche pour chauffer la salle. À la fin de son titre, “Allez là”, la jeune femme court d’un côté de l’autre de la scène pour départager quelle partie du public scande le plus fort le titre de la chanson. Un dévouement qui paye. Les gens sortent du concert avec le sourire jusqu’aux oreilles. Les plus patients attendent la chanteuse qui a promis de venir au stand de merchandising les embrasser. Malgré le succès, Hoshi reste une personne simple et honnête. En deux mots, nature peinture.
Ce n’est pas étonnant. Depuis 2017, et son premier single « Comment je vais faire », Mathilde Gerner, de son vrai nom, réussit par ses textes engagés, profonds, personnels à toucher les gens à n’importe quel âge. Ce soir-là, mardi 9 novembre, dans la salle du Château Rouge qui peut accueillir environ 1500 personnes, des familles, des adolescentes, des personnes plus âgées l’applaudissent et scandent son nom. Avec son look atypique, sa voix puissante et son énergie débordante, elle embarque tout le monde dans son monde et même ses recoins les plus intimes.
De l’émotion garantie
Accompagnée d’une guitariste, d’un bassiste et d’un batteur, la jeune femme chante durant sa prestation des titres plus personnels laissant apparaitre une facette d’elle plus sensible, plus brute. Comme avec les sons, « Il était toi », « Jte pardonne », « Et même après je t’aimerai » qui parle d’amour et de sentiment… Elle verse quelques larmes pendant le morceau « Fais-moi signe ». Hoshi y parle ouvertement de sa maladie. En effet, elle souffre de la maladie de Ménières qui touche son ouïe. À travers ses textes, elle se livre à cœur ouvert devant son public complètement réceptif.
En communion avec le public
Dès son arrivée sur scène, Hoshi démontre une envie presque viscérale de vivre un vrai moment de partage avec son public. Dès le troisième titre, “Enfant du danger”, elle encourage l’assistance à chanter en boucle le refrain avec elle. Grâce à une scénographie projetée sur le mur derrière la chanteuse pour chaque titre, les spectateurs peuvent s’imprégner du sens du morceau visuellement. Un effort supplémentaire appréciable et qui, surtout, marque les esprits.
En parlant d’effort, la chanteuse se donne sans relâche pour chauffer la salle. À la fin de son titre, “Allez là”, la jeune femme court d’un côté de l’autre de la scène pour départager quelle partie du public scande le plus fort le titre de la chanson. Un dévouement qui paye. Les gens sortent du concert avec le sourire jusqu’aux oreilles. Les plus patients attendent la chanteuse qui a promis de venir au stand de merchandising les embrasser. Malgré le succès, Hoshi reste une personne simple et honnête. En deux mots, nature peinture.