"Mon avion a six heures de retard" s'exclame une passagère un peu énervée. Le chaos règne à l'aéroport de Genève en ce samedi cauchemardesque. Le système informatique à lâché ce matin. Les passagers ne pouvaient pas accéder aux avions, les avions n'avaient pas les autorisations de décoller et ceux qui étaient en l'air ne devaient pas atterrir.
En plus de cela, la panne a également touché le tri-bagage (le système de tri et de répartition automatique de toutes les valises) forçant les employés à trier l'énorme quantité de bagage à la main. "Et cela prend beaucoup de temps" selon un employé du ledit tri. Certains avions sont partis avec la moitié de leur cargaison. "Ce sont des choses qui arrivent. Malheureusement, cette accumulation de "pas de bol" arrive le mauvais jour et au pire moment." ajoutait un de ses collègues.
Comme si cela ne suffisait pas, la neige a causé d’important problèmes de visibilité. Les avions ne pouvait pas atterrir sans le système de guidage de Skyguide (également affecté par l'arrêt du système informatique). Certains avions tournaient au-dessus de Genève. Évidemment, le carburant venait à manquer ce qui a obligé l'atterrissage forcé d'une machine. Plus de peur que de mal pour finir. Une quinzaine d'avions en tout ont été contraints de se poser à Lyon afin d'éviter ce genre de mésaventure.
En plus de cela, la panne a également touché le tri-bagage (le système de tri et de répartition automatique de toutes les valises) forçant les employés à trier l'énorme quantité de bagage à la main. "Et cela prend beaucoup de temps" selon un employé du ledit tri. Certains avions sont partis avec la moitié de leur cargaison. "Ce sont des choses qui arrivent. Malheureusement, cette accumulation de "pas de bol" arrive le mauvais jour et au pire moment." ajoutait un de ses collègues.
Comme si cela ne suffisait pas, la neige a causé d’important problèmes de visibilité. Les avions ne pouvait pas atterrir sans le système de guidage de Skyguide (également affecté par l'arrêt du système informatique). Certains avions tournaient au-dessus de Genève. Évidemment, le carburant venait à manquer ce qui a obligé l'atterrissage forcé d'une machine. Plus de peur que de mal pour finir. Une quinzaine d'avions en tout ont été contraints de se poser à Lyon afin d'éviter ce genre de mésaventure.
Tout est (presque) revenu dans l'ordre en fin d'après-midi. Les vols n'affichent pas plus de 15 minutes de retard et les tensions se sont affaiblies. "Il peut neiger un mètre sans soucis. On sait comment réagir et éviter le chaos. Mais si en plus tous nos instruments de guidage et les différents systèmes informatiques nous font faux bond, je pense que même Dieu n'aurait pas réussi à arranger la situation sans provoqué de retard!" concluait un chef d'équipe de chez Swissport.
