Photo Paléo Festival -Nicolas Patault

Paléo a ouvert ses portes ce lundi 18 juillet dès 15h et se terminera tard dans la nuit du dimanche 24 juillet. Et que de nouveautés attendent les spectateurs ! “ Ces 3 longues années de pause nous ont permis de nous pencher sur des chantiers d’innovations pour le festival ” explique Daniel Rosselat, fondateur et président de la manifestation, avant de rajouter: “Nous sommes une équipe de 65 à l’année et il était hors de question de ne pas mettre tous ces talents à profit afin d’améliorer l’infrastructure de Paléo. “
Réunions à n’en plus finir pour discuter, changer, améliorer sans cesse les plans du terrain et réfléchir à de nouvelles idées pour l’expérience Paléo se sont enchaînées ces derniers mois, tant le festival met un point d’honneur à proposer des activités en dehors des concerts. “ Et ceci avec l’aide des partenaires, de la Conféderation et du canton de Vaud ” se réjouit Daniel Rosselat qui égrène les changements de cette nouvelle édition.
“Un festival d’innovations”
Une des nouveautés technologiques est la suppression pure et simple du cash dans l’enceinte du festival : le public ne pourra donc utiliser que sa carte bancaire, la fonction TWINT ou une carte à recharger prêtée par Paléo. Des bornes à recharge sont disposés un peu partout à travers le terrain. Autre changement : un système amélioré d’éclairage a été mis en place pour permettre d’illuminer Paléo à la tombée de la nuit. Avec des torches en métal enflammées par exemple.
Et ce n’est pas tout : en partenariat avec la Mobilière, un dôme sphérique a été construit au Nord du terrain. Pendant sept minutes, le festivalier pourra s’immerger dans une expérience sonore et visuelle, tranquillement allongé dans un transat. Dans la même lignée, Paléo a maintenu son partenariat de 19 ans avec les HES de suisse romande comme l’Hépia ou la Haute Ecole de Gestion de la HES-SO Valais-Wallis. Nonante étudiants et étudiantes ont ainsi dû imaginer un espace interactif, dont le public pourra découvrir 7 projets sensoriels, corporels ou encore même scénique. “ C’est la première année qu’on propose une scène dans l’espace HES. Deux à trois fois par jour, on pourra assister à des représentations de danse contemporaine par exemple ou encore de folk, métal,..” détaille Xénia Pfister, une des étudiantes participant au projet.
En plus des nouvelles scènes Belleville, nouveau sanctuaire dédié à la musique électronique, et Véga qui prend le rôle des Arches, l’ancienne moyenne scène, le festival semble avoir mis les bouchées doubles pour en mettre plein la vue à son public. Reste à voir si celui-ci répondra présent avec la même ferveur que lors des précédentes éditions…
Réunions à n’en plus finir pour discuter, changer, améliorer sans cesse les plans du terrain et réfléchir à de nouvelles idées pour l’expérience Paléo se sont enchaînées ces derniers mois, tant le festival met un point d’honneur à proposer des activités en dehors des concerts. “ Et ceci avec l’aide des partenaires, de la Conféderation et du canton de Vaud ” se réjouit Daniel Rosselat qui égrène les changements de cette nouvelle édition.
“Un festival d’innovations”
Une des nouveautés technologiques est la suppression pure et simple du cash dans l’enceinte du festival : le public ne pourra donc utiliser que sa carte bancaire, la fonction TWINT ou une carte à recharger prêtée par Paléo. Des bornes à recharge sont disposés un peu partout à travers le terrain. Autre changement : un système amélioré d’éclairage a été mis en place pour permettre d’illuminer Paléo à la tombée de la nuit. Avec des torches en métal enflammées par exemple.
Et ce n’est pas tout : en partenariat avec la Mobilière, un dôme sphérique a été construit au Nord du terrain. Pendant sept minutes, le festivalier pourra s’immerger dans une expérience sonore et visuelle, tranquillement allongé dans un transat. Dans la même lignée, Paléo a maintenu son partenariat de 19 ans avec les HES de suisse romande comme l’Hépia ou la Haute Ecole de Gestion de la HES-SO Valais-Wallis. Nonante étudiants et étudiantes ont ainsi dû imaginer un espace interactif, dont le public pourra découvrir 7 projets sensoriels, corporels ou encore même scénique. “ C’est la première année qu’on propose une scène dans l’espace HES. Deux à trois fois par jour, on pourra assister à des représentations de danse contemporaine par exemple ou encore de folk, métal,..” détaille Xénia Pfister, une des étudiantes participant au projet.
En plus des nouvelles scènes Belleville, nouveau sanctuaire dédié à la musique électronique, et Véga qui prend le rôle des Arches, l’ancienne moyenne scène, le festival semble avoir mis les bouchées doubles pour en mettre plein la vue à son public. Reste à voir si celui-ci répondra présent avec la même ferveur que lors des précédentes éditions…